Le Cube et les Permutations du Nom

Le Cube et les Permutations du Nom par Spartakus FreeMann. Dans la Kabbale moderne, les 10 Sephiroth et les 22 Sentiers sont représentés géométriquement sous la forme d’un Arbre, arbre connu sous le nom d’Arbre de Vie. Cependant, le Sepher Yetsirah suggère une représentation géométrique différente de l’Univers.

Dans le verset 5, 2 (Version Gra) : « Douze Simples : H (ה), V (ו), Z (ז), H’ (ח), T (ט), Y (י), L (ל), N (נ), S (ס), A (ע), Ts (צ), Q (ק). Les douze limites diagonales sont leur fondement : Limite supérieure Est, limite Nord-Est, limite inférieure Est. Limite supérieure Sud, limite Sud-Est, limite inférieure Sud. Limite supérieure Ouest, limite Sud-Ouest, limite inférieure Ouest. Limite supérieure Nord, limite Nord-Ouest, limite inférieure Nord. Elles s’étendent sans cesse dans l’éternité des éternités, ce sont les limites de l’Univers ».

Le Cube et les Permutations du Nom

Les Douze limites diagonales se réfèrent en fait aux arêtes d’un cube. Un cube possède 12 arêtes et si ses faces sont orientées dans les directions des points cardinaux alors ses arêtes peuvent être décrites de cette manière :

** les 4 arêtes supérieures sont la limite supérieure est, la limite supérieure sud, la limite supérieure ouest et la limite supérieure nord;

** les 4 arêtes du bas sont les limites est, sud, ouest et nord;

** les 4 arêtes verticales sont alors disposées au nord-est, au sud-est, au sud-ouest et au nord-ouest.

Le terme « diagonale » utilisé est quelque peu impropre, en hébreu il est « alecsone » qui se réfère au côté le plus long d’un triangle. Si l’on prend un point au centre d’un cube et que l’on dessine les lignes qui connectent ce point au 8 côtés, alors on obtient douze triangles et pour chacun de ces triangles l’alecson sera l’une des douze arêtes du cube.

La disposition des douze lettres élémentaires sur le cube suggère que les 10 autres lettres y sont également présentes et que l’on puisse les associer également au cube. Les trois lettres mères (אמש) définissent un système tridimensionnel comme cela nous l’est suggéré par le verset suivant : « Il choisit trois lettres parmi les simples dans le mystère des trois mères : Aleph (א), Mem (מ), Shin (ש). Il les fixa dans son Grand Nom et scella avec elles six extrémités. Cinq : Il scella le dessus et tourné vers le haut, il le fixa avec YHV. Six : Il scella le dessous et tourné vers le bas, il le fixa avec HYV. Sept : Il scella l’Est et tourné vers l’avant, il le fixa avec VYH. Huit : Il scella l’Ouest et tourné vers l’arrière, il le fixa avec VHY. Neuf : Il scella le Sud et tourné vers la droite, il le fixa avec YVH. Dix : Il scella le Nord et tourné vers la gauche, il le fixa avec HVY. » (Sepher Yetsirah 1, 10). Ensuite, les 7 lettres doubles définissent le centre et les 6 directions dans l’espace (haut, bas, est, ouest, nord, sud) comme cela nous l’est indiqué par le verset suivant : « Sept doubles : BGD KPRT (בגדכפרת). Haut et bas, Est et Ouest, Nord et Sud. Le Saint Palais est situé au centre et les supporte toutes ». Et finalement, les 12 lettres simples qui complètent les 12 arêtes du cube.

Tout comme le cube tridimensionnel peut représenter une réalité tridimensionnelle, des hypercubes quadri, penta, sextadimensionnels peuvent servir de modèles d’abstraction de l’interface en l’Infini et le monde créé (qui, bien que multidimensionnel, demeure un fini relatif par rapport à la dimension spirituelle qui le précède et le transcende).

Selon la Kabbale, à ses niveaux métaphysiques les plus subtils, la réalité consiste en une interaction entre deux modes de « Lumières divines ». La première est appelée Igulim et est représentée sous la forme d’une lumière circulaire, sphérique enveloppante qui irradie dans toutes les directions au travers de l’univers quel que soit le mérite de l’homme. La lumière des Igulim est si omniprésente qu’elle imprègne l’univers de la même manière en tout temps et en tous lieux sans le moindre changement d’intensité. Rien ne peut l’arrêter, rien ne peut interférer avec elle, rien ne peut la frustrer. Comme nous le verrons, par rapport au second mode, elle représente l’action de Dieu dans le monde, une action qui est si subtile que non seulement on ne peut la percevoir, mais on ne peut non plus la détecter ! C’est précisément parce qu’elle est partout égale, qu’elle ne peut être détectée. Elle est représentée comme étant sphérique car tout dans le monde naturel est sphérique; jusqu’au niveau le plus infime.

Le Cube et les Permutations du Nom - Arbre des Sephiroth
Arbre de Vie des Sephiroth

Le second mode, appelé Yosher, est décrit comme une lumière directe qui brille dans le monde au travers du système bien connu des trois colonnes de l’Arbre de Vie des Sephiroth. Dans ce second mode, la révélation ou la dissimulation de la lumière divine dépend de l’homme, de ses actions et de sa valeur morale. Il est fait mention de ceci dans la seconde signification du mot « yosher », « justesse ». C’est pour cette raison que le Ari (Rabbi Isaac Louria) dit que la Torah et le Zohar ne parlent presque exclusivement que de la Yosher : la perfection de l’homme et de son monde en tant que lieu de résidence pour le Divin.

Cette distinction est représentée dans le Temple par la différence entre l’Altar (Mizbeah) représentant le coeur par opposition au Lishkat ha-Gazit où siégeait la cour suprême de la nation juive (voir Hirsh sur Exode 20:22; Kaplan, Eye of the Universe, p. 30).

Nous devons nous représenter notre univers sous la forme d’un cube dynamique et en expansion. Cette réalité est reflétée dans notre monde tridimensionnel où tout objet a six faces : sud, nord, est, ouest, haut et bas. Ces six faces sont connectées par douze ligne ou arêtes. Les douze lignes (Yosher) représentent les canaux de l’énergie de la vie; les émanations de la Lumière divine unifiée (Igulim). Le Ari nous enseigne que l’acte de création impliqua une contraction (Tsimtsoum en hébreu) de cette lumière. Ces lignes du cube représentent ainsi la lumière contractée, le mouvement de l’Infini vers le fini. La manifestation de la lumière transcendante de l’Igulim dans le monde humain de Yosher. Au travers de ces canaux, donc au travers de l’homme, la Lumière Unique est révélée dans la multiplicité.

Le Sepher Yetsirah (chapitre 5) se réfère à différents ensembles de 12 qui dérivent tous de la lumière projetée de ces douze canaux de l’énergie divine.

Les douze fils de Jacob qui devinrent les douze Tribus d’Israël : Yehudah-Yissachar-Zebulun, Reuben-Shimon-Gad, Ephraim-Menaseh-Binyanim, Dan-Asher-Naftali (l’orde ici est celui du campement dans le désert autour du Tabernacle : Levi n’apparaît pas ici, mais la différence provient de la division de la Tribu de Yossef en deux : Ephraim et Menaseh).

Bahir 112 : « Et voici ces noms ineffables, précieux et magnifiques qui sont douze correspondant aux douze tribus d’Israël :

1. AHTSYTSHRIN

2. ACLYTHRVN

3. CHMKTRVN

4. DMVCHHRVN

5. VTSPTSPSYTRVN

6. HVRMYRVN

7. BR’HYHRVN

8. ‘ARCH GDRAVN

9. BSAVH MNAHVN

10.’HZHVYH

11. HVHYRY HAH

12.AHYH VHRAYTHVN

Et tous sont contenus dans le Coeur des cieux. Et ils se partagent en 24 noms, car en eux sont contenus le mâle et la femelle. Et ils sont préfets dans le Téli, le Galgal et le Leb. Et ils sont les sources de la Sagesse ».

אהציצ »הרון אכלית »הרון שמקת »ון דמוש »רון וצפצפסית »רון הורמי »רון

ברחיהג »און ערש גדר »און בסאוה מנא »הון חזהו »יה הוהיוי האה אה »יה והראתי »הון

L’origine de ces Noms est peu claire, mais ces douze noms correspondent aux douze diagonales de l’Arbre de Vie.

Dans le Sepher Yetsirah (chapitre 6, 1) : « Douze simples: hé, waw, zayin, het, tet, yod, lamed, nun, samekh, ‘ayin, tzadi, qof. Il les a tracées, taillées, multipliées, équilibrées et permutées et Il a créé avec elles les signes du zodiaque, les mois et les organes directeurs: deux agités, deux tranquilles, deux délibérants, deux gais (qui sont les deux intestins), les deux mains, les deux pieds. Il les a mis comme en lutte et les a rangés comme en bataille. Dieu a fait l’un en face de l’autre ».

En plus des 22 lettres, le cube comprend également le Tétragramme divin YHVH comme nous le découvrons en additionnant les 6 faces du cube, ses 8 côtés et ses 12 arêtes, dont la somme est 26, valeur du Tétragramme.

Les Douze Bannières de YHVH (יהוה) : Le Nom YHVH est composé de trois lettres différentes, dont l’un (He ה) se répète. Il est possible de réarranger les lettres selon 12 ordres différents ou selon douze permutations. Ces douze permutations peuvent alors se combiner avec des groupes de 12 éléments : signes du zodiaque, tribus d’Israël, mois du calendrier, etc. L’ordre des Bannières de YHVH est important et la méthode traditionnelle pour permuter consiste à prendre tout d’abord le Nom usuel (יהוה) puis d’échanger les deux dernières lettres. La troisième Bannière est obtenue à partir de la seconde en échangeant la dernière et la première lettre, et ainsi de suite.

Les douze permutations du Nom de Dieu, le Tétragramme : YHVH-YHHV-YVHH, HVHY-HVYH-HHVY, VHYH-VHHY-VYHH, HYHV-HYVH-HHYV.

Les douze lettres élémentaires de l’alphabet hébreu : he-vav-zaïn, ‘heth-teth-yod, lamed-noun-samekh, ayin-tzadé-qof.

Les douze diagonales de l’Arbre de Vie : est/dessus, est/nord, est/dessous; sud/dessus, sud/est, sud/dessous; ouest/dessus, ouest/sud, ouest/dessous; nord/dessus, nord/ouest, nord/dessous.

Les douze expressions de l’âme : parole-pensée-mouvement, vue-ouïe-action, sexualité-orodat-sommeil, colère-goût-rire.

Les douze mois lunaires : nissan-iyar-sivan, tammuz-av-elul, tishrei-cheshvan-kislev, tevet-shevet-adar.

Les douze signes du zodiaque : bélier-taureau-gémeaux, cancer-lion-vierge, balance-scorpion-sagittaire, capricorne-verseau-poissons.

Sepher Yetsirah (4, 8 ) : « Cinquièmement: Il a choisi trois lettres simples et les a fixées avec son grand nom et a scellé avec elles les six côtés.

Il a scellé le haut, il s’est tourné en haut et l’a scellé avec yod, hé, waw.

Sixièmement: Il a scellé le bas. Il s’est tourné en bas et l’a scellé yod, waw, hé.

Septièmement: Il a scellé l’orient. Il s’est tourné devant lui et Il l’a scellé avec hé, waw, yod.

Huitièmement: Il a scellé l’occident. Il s’est tourné derrière lui, et l’a scellé avec hé, yod, waw.

Neuvièmement: Il a scellé le midi. Il s’est tourné à droite et l’a scellé avec waw, yod, hé.

Dixièmement : Il a scellé le nord. Il s’est tourné à gauche et l’a scellé avec waw, hé, yod ».

Reliant le nombre douze au schéma d’un cube, Rabbi Aryeh Kaplan écrit dans son Commentaire du Sepher Yetsirah : « Les douze (lettres) élémentaires sont censées être reliées aux douze diagonales (du cube). Celles-ci correspondent aux douze arêtes du cube. Lorsqu’une personne utilise ces lettres dans une méditation, il doit également se concentrer sur la direction appropriée. L’ordre ici (dans le Sepher Yetsirah) commence à l’est et ensuite va au travers des quatre directions principales : est, sud, ouest, nord. Ceci correspond à l’enseignement, « Partout où tu te tournes, tourne-toi vers la droite » (Yoma, 16b). L’ordre des directions est également le même que celui des quatre camps dans le désert (Nombre 2). Les douze diagonales correspondent ainsi aux Douze Tribus. C’est pour cette raison que notre version donne trois limites pour chacun des quatre côtés. Celles-ci correspondent aux trois Tribus dans chacun des quatre camps… Le Bahir (25) relie ces douze diagonales à l’Arbre de Vie… Ces douze limites correspondent aux douze permutations du Tétragramme. Les permutations commencent avec le Yod qui correspond à l’est; celles qui commencent avec le premier He, au sud; le Vav, à l’ouest; et le He final au nord » (Sepher Yetsirah, traduction par Aryeh Kaplan, pages 203-205).

Le Bahir demande : « Que signifie: « Que YHVH te bénisse et te garde! Que YHVH fasse pour toi briller Sa face et te soit bienveillant! Que YHVH te découvre Sa face et t’apporte la Paix! » (Nombres 6, 24-26). C’est le Nom ineffable du Saint, béni soit-Il. C’est le Nom de douze lettres, ainsi qu’il est écrit:

Hé-Vav-Yod-(hé)

Hé-Vav-Yod-(hé)

Hé-Vav-Yod-(hé) »

Ceci enseigne que les Noms du Saint, béni soit-Il sont trois armées.

Mais chaque armée ressemble à sa compagne et son nom est semblable au sien.

Toutes sont scellées par Yod-Hé-Vav-Hé.

Et comment cela?

Permute Yod, Hé, Vav, Hé 24 fois et tu auras la première armée: « Que YHVH te bénisse ».

Idem pour la deuxième: « Que YHVH fasse briller »: ce seront 24 noms du Saint béni soit-Il.

Idem pour la troisième: « Que YHVH apporte ».

Et ce seront 24 noms du Saint béni soit-Il.

Ceci enseigne que les chefs et princes de chaque armée sont 24.

Permute les 24 trois fois et tu auras les 72 noms du Saint béni soit-Il.

Et voilà les 72 qui proviennent de « et partit »), « et vint »), « et étendit » (Exode 14, 19-21) ».

Rabbi Kaplan explique le passage de 12 permutations à 24 mentionné ci-dessus : « Le Tétragramme YHVH a deux lettres He (ה). Si on les considère comme deux lettres différentes, alors les quatre lettres de ce Nom peuvent être permutées de 24 manières différentes. C’est de ce fait que certains kabbalistes écrivent que ces deux He sont différents l’un de l’autre. Si ces deux He ne sont pas différenciés, alors les quatre lettres n’ont que 12 permutations. Ces douze permutations usuelles du Nom correspondent aux douze directions de l’Arbre de Vie. » ( Kaplan ibid. 165).

Le Bahir mentionne les 72 Noms du Saint béni soit-Il dans un autre enseignement : « Rabbi Amoraï s’assit et questionna: Et que signifie ce qui est écrit: « Voici: les cieux ni les Cieux des cieux ne sauraient Te contenir » (I Rois 8, 27)? Ceci enseigne que le Saint, béni soit-Il, a soixante-douze Noms. Et tous ont été rassemblés dans les tribus, comme il est écrit: « Six des noms sur la première pierre, et les six noms qui restent sur la seconde pierre, selon leurs générations » (Exode 28, 10). Et il est écrit: « …et de son côté, il érigea douze pierres, etc. » (Josué 4, 9). De même que les unes sont des pierres de souvenir, de même les autres sont des pierres de souvenir, car les douze pierres correspondent aux soixante-douze Noms du Saint, béni soit-Il. Et pour quelle raison commencer par les douze? C’est pour t’enseigner que le Saint, béni soit-Il, a douze dirigeants. Et en chacun d’eux, il y a six forces. Et quelles sont celles-ci? Les soixante-douze langues » (Bahir, chapitre 94).

Aux quatre Camps ou aux Quatre Bannières de la Merkavah Supernelle correspondent Mikaël, Gabriel, Raphaël et Uriel.

Rabbi Kaplan clarifie ce point pour nous : « Les douze Tribus d’Israël correspondent aux douze lettres élémentaires de l’alphabet hébreu et les douze diagonales de l’Arbre de Vie… Le Bahir dit que chaque lettre élémentaire est constituée de six « noms ». Les six noms sont un parallèle aux six directions du continuum tridimensionnel. Chacune des 12 lettres est donc un continuum spatial complet par elle-même. Les douze diagonales font leur chemin dans le monde des Sephiroth, l’univers de l’Émanation… Celles-ci sont reflétées par les Douze chefs, les Archanges du Monde du Trône, l’univers de la Création. Par rapport à ces Archanges, Isaïe dit (Isaïe 6:1-1): « Je vis Dieu se tenant sur un Trône élevé et exalté… au-dessus de Lui se tenait les Seraphim, chacun ayant 6 ailes ». Il parle des Archanges du Monde du Trône. Chacun de ces Archanges directeurs a six ailes et celles-ci correspondent aux Six Puissances qui se situent dans le monde en-dessous de celui du Trône, le Monde de la Formation. Ceci fait un total de 72 Puissances. Chacun de ces Anges est un ange gardien, un ange des 72 Nations qui correspondent aux 72 langues. Celles-ci sont un reflet des Puissances dans le monde physique, l’univers de l’Action… Le langage est une entité conceptuelle plus que physique et les langues représentent les 72 manières d’exprimer les concepts mondains. À un niveau plus élevé, chacune des 72 langues a une racine dans le Nom divin de 72 lettres, et par conséquent, n’importe laquelle de ces langues peut être utilisée dans le domaine des mystères. Ceci reflète l’enseignement midrashique dans lequel Elie dit (Tanna debei Eliahu rabba 9), « Je fais que les cieux et la terre portent témoignage que tout humain, juif ou gentil, homme ou femme, libre ou esclave, selon ses actes, peut être digne de la Rouach ha-Kodesh ».

Le Cube et les Permutations du Nom, par Spartakus FreeMann, avril 2007 e.v.

Sources :

Rabbi Aryeh Kaplan

Sepher Yetsirah

Sepher HaBahir

Alexander Suton

Christopher P. Benton

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3 réflexions sur “Le Cube et les Permutations du Nom”

  1. Intéressant ce que tu as mis spart… si j’ai bien compris, cela me fais pensé un rubicub en mettant des lettres à la place des couleurs.

    avec des limitation on peut pas tourner dans un sens ou un autre…

  2. Je peux lire tout le texte. Peut-être cela vient-il de ton navigateur internet ?

    Je vais poster un texte similaire de Carlo Suarès sous peu.

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