Le Sefer ha-Bahir, traduit par Gilen.
Le Sefer ha-Bahir, traditionnellement attribué à Nehunya Ben Ha-Kanah (Ier siècle), est un traité mystique écrit en hébreu et en araméen. Il a été compilé, sous sa forme actuelle, entre 1150 et 1200.
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Le Sefer HaBahir (ou Livre de la Clarté, סֵפֶר הַבָּהִיר) date de la fin du 12e siècle de l’ère courante et réinterprète un traité plus ancien, le Sefer Yetsirah (le Livre de la Création). Bahir peut se traduire par « dans la Lumière », mais aussi par « dans la Sérénité. » Ce livre développe un système de mystique juive appuyé sur la notion rabbinique fort ancienne de Shekhina, conçue comme l’Immanence Divine de l’Ineffable et Saint Nom dont la vie intérieure s’organiserait en dix puissances créatrices, les Sefirot énumérées dans le Sefer Yetsirah. Cette doctrine semble s’apparenter au gnosticisme qui, depuis l’époque hellénistique ancienne, pénétra progressivement toute l’Europe médiévale, et s’inscrit dans le mouvement mystique juif de la Kabbale.
Sefer HaBahir. (2017, février 3). Wikipédia, l’encyclopédie libre. Page consultée le 08:10, février 3, 2017 à partir de http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Sefer_HaBahir&oldid=134214521.
Le Sefer ha-Bahir, traduit par Gilen.
Pouirquoi le Bahir parle-t-il tant des lettres?
d’abord un tres grand merci et bravo pour cette realisation
j’apprecie beaucoup le texte francais en regard de l’original hébreu.
il y a cependant des fautes de traduction
en 2, il est question de Tohou et Bohou, pour dire que le tav s’est changé en Beth, c’est pourqoui a partir du 3 le texte par le des declinaisons du beth
– 26 : berabi signifie fils de rabbi, YHVH est une homme de guerre, puis le texte parle de alef Yod et schine, parce que ces lettres forment le mot Ish, homme
– ailleurs, 34, le traducteur ignore les voyelles hebraiques. il parle sans cesse de « petite ouverture » quand l’original parle de petah katane, ce qui signifie la meme chose mais designe une voyelle d’une forme particuliere.
43 kare’h signifie glace et chauve
Il existe une autre traduction sur le Net, celle de gabaon,
sinon celle éditée aux editions Verdier; Le Bahir traduit par Gottfarstein